Le greenwashing ou plutôt l’écoblanchiment en langue française est devenu depuis ces dernières années une spécialité des entreprises les plus polluantes. Comment faire pour séparer le bon grain de l’ivraie ? Prenons comme exemple l’entreprise Konica Minolta, au dela de leurs activités liées en autres à la production de film photographique et d’appareil photo, intéressons-nous à leur politique environnementale
Déja premier point positif la création en 1972 d’un département pour la protection de l’environnement. D’ailleurs pour les fins connaisseurs en histoire de l’écologie, 1972 fut l’année de la conférence des Nations Unies sur l’environnement humain (CNUEH) qui a eu lieu à Stockholm.
Evidemment l’engagement en faveur d’une vraie volonté politique de développement durable a réellement décollé au début des années 2000 avec la création du Conibi (recyclage et valorisation des cartouches d’impression). Et chaque année de nouvelles actions sont menées en faveur de l’environnement comme par exemple la lutte contre le changement climatique.
Konica Minolta une entreprise verte ? Néxagérons pas ! Néamoins cette volonté affichée de protéger l’environnement est un gage positif pour ces prochaines années.